Articles de presse

Ce dimanche 12 mars, à 17h, l'association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens a le plaisir de vous proposer un concert avec le duo Van Hoecke-Pia (guitare classique et flûte à bec).

Ce duo a été crée en 2013, grâce à la complicité de deux jeunes musiciens cherchant à marier deux instruments intimistes avec des œuvres originales et des transcriptions de diverses époques et des styles différents. 

Dimanche 12 mars prochain à 17h à l'église de Daillens, l'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens vous propose un duo guitare et flûte à bec avec Albert Pià et Jan Van Hoecke.

Né en 1982 à Eeklo en Belgique Jan Van Hoecke, a étudié la flûte à bec en Belgique et en Suisse. En 2006, il a obtenu son Master «summa cum laude» au Koninklijk Conservatorium de Bruxelles. Depuis il est lauréat de nombreux concours internationaux et donne des concerts en Europe, au Japon et aux EtatsUnis en tant que soliste avec orchestre ou en musique de chambre. Il a enseigné au Conservatoire de Lausanne et il est actuellement professeur à la Hoehschule für Musik und Darstellende Kunst de Francfort-sur-le Main.

Albert Pià Comella est né à les Escaldes (Andorre) en 1979. Il a étudié la guitare en Andorre, en France, en Suisse et en Italie. Il obtient en 2008 son Diplôme de Concert avec mention à la Haute école de musique de Sion. Il est lauréat de divers concours internationaux. Il joue, dès 1996, régulièrement en tant que soliste et avec divers groupes de musique de chambre, dans de nombreux festivals et lieux de prestige en Europe et aux Etats- Unis. Domicilié à Neuchâtel, il enseigne la guitare classique au Conservatoire de musique neuchâtelois.

DAILLENS
L'Association pour l'animation du choeur de l'église de Daillens vous propose un Concert Classic Jazz ce dimanche 12 février à 17h. On y retrouvera Benjamin Monney, enfant de Daillens et sous-directeur de la fanfare de Daillens-Penthalaz l'Echo de la Molombe. Dans son programme, il y aura des morceaux connus tels que Lamment de Brandon Ridenour, composition pour quintette de cuivre de cet excellent trompettiste membre du Canadian Brass; puis, on entendra le sublime Danny Boy un air traditionnel irlandais.

Dans un registre plus classique l'ouverture de Guillaume Tell de Giacomo Rossini et la célèbre Pavane de Gabriel Fauré. Côté jazz, on découvrira Feeling Good de Newley et Bricusse, Puttin'on the Ritz d'Irving Berlin, ou divers ragtimes. Ce programme sera interprété par un quintette inédit formé de Benjamin Monney (trompette), Jean-Pierre Bourquin (trompette) Tom Sullivan (tuba), Serge Schlaeppi (trombone) et Célia Forlani (cor). A noter que l'entrée est libre avec chapeau à la sortie.

ROSELINE HEUTGER CONTESSE

 L'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens a le plaisir de vous proposer un concert Classic Jazz ce dimanche 12 février à 17h à l'église.

Le public pourra découvrir un quintette inédit formé grâce à Benjamin Monney (trompette) qui a fait appel à son mentor Jean-Pierre Bourquin (trompette), Tom Sullivan (tuba), Serge Schlaeppi (trombone) et Célia Forlani (cor).
Benjamin, musicien, enfant de Daillens et sous-directeur de la Fanfare de Daillens-Penthalaz l'Echo de la Molombe, a préparé un programme très intéressant dans le registre Classic Jazz, des morceaux connus et appréciés tel que Lament de Brandon Ridenour, une composition pour quintette de cuivre de cet excellent trompettiste membre du fameux Canadian Brass ; Danny Boy, une air traditionnel irlandais ; une petite note plus classique avec l’Ouverture de Guillaume Tell de Gioacchino Rossini et la Pavane de Gabriel Fauré ; Feeling Good de Newley et Bricusse ; Puttin’on the Ritz d’Irving Berlin ; Someone to Watch Over Me de George et Ira Gershwin ; That’s a Plenty de Lew Pollak ; et Divers Ragtimes….

L’Association pour l’animation du chœur de l’église de Daillens se réjouit de vivre ce moment musical, et remercie chaleureusement Benjamin et ses musiciens. Entrée libre, chapeaux à la sortie.

Au nom de l’Association pour l’animation du chœur de l’église de Daillens, Roseline Heutger Contesse

Ce dimanche 22 janvier à 17h, l'association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens vous propose le concert spectacle «Hommage à Gilles: Y en a point comme lui!» avec le Trio coup d'soleil (André Borboen, Bernard Ducret et Françoise Idzerda au piano dans une mise en scène de Stéfanie Mango).

Jean Villard Gilles, originaire de Daillens, dont il a reçu la bourgeoisie d'honneur en 1967, est né à Montreux le 2 juin 1995. Très jeune il est attiré par le théâtre, en 1918 il joue L'histoire du soldat de Ramuz et Stravinski; ouvert au monde, il part à Paris et joue dans la troupe de Jacques Copeau jusqu'en 1932, puis se tourne vers la chanson et devient vedette de music-hall, il chante d'abord avec Julien, puis Edith Burger et enfin Albert Urfer de 1948 à 1976.

Gilles est l'auteur de plus de 300 chansons (dont «Les trois cloches») et il a participé à l'éclosion d'Edith Piaf, Les Compagnons de la Chanson, Brassens, Brel et bien d'autres. Georges Brassens disait d'ailleurs que c'est en écoutant la chanson «Dollar» qu'il a osé se mettre à écrire ses propres chansons.

Cet artiste nous a quittés le 26 mars 1982. Il est certain que, perché sur son nuage, il doit se réjouir du succès de ses chansons reprises par tant d'autre avant le trio Coup d'Soleil et qui sait, peut-être est-il en train de trinquer avec Gaston et Pierrot, nos Faux-Gilles qui ont su perpétuer son œuvre pendant si longtemps.

Notons que l'entrée à ce concert est libre (avec chapeau à la sortie).

En cette période de pluie et de ciel plombé, l'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens vous propose, dimanche 22 janvier à 17h, un petit coup de soleil avec le concert spectacle du Trio Coup d'Soleil d'André Borboen, Bernard Ducret et Françoise Idzerda au piano dans une mise en scène de Stéfanie Mango.

Gilles est un personnage exceptionnel. Il ne s'est pas contenté de faire le portait des Vaudois. Jean Villard Gilles est originaire de Daillens, dont il a reçu la bourgeoisie d'honneur en 1967.
Gilles est un précurseur, le premier auteur-compositeur interprète de la chanson française à avoir osé aborder des thèmes critiques, comme celui de l'argent, la guerre, la bêtise humaine et à abandonner une forme de chanson trop sentimentale. Observateur vif et concis, son humour, son goût de la liberté et son amour de la vie sont les sources vives de son inspiration.

Né à Montreux le 2 juin 1895, il est attiré très jeune par le théâtre. En 1918, il joue l'histoire du soldat de Ramuz et Stravinski, il part à Paris, joue dans la troupe de Jacques Copeau jusqu'en 1932 puis se tourne vers la chanson et devient vedette de music-hall. Il chante d'abord avec Julien, puis Edith Burger et enfin Albert Urfer de 1948 à 1976. Pendant la guerre, il revient en Suisse et crée le cabaret Coup d'SoleiI avec Edith.

L'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens Vous invite à découvrir .«Les secrets de la nuit», un conte musical tout public dès 4 ans, après-demain dimanche 11 décembre à 17h.

La compagnie A3 allume sa lampe frontale pour explorer la nuit. Que faire quand on est petit et qu'on a peur du noir? Les secrets de la nuit, c'est une aventure scénique menée par une conteuse, une modiste et une musicienne qui emmènent les enfants à la découverte de fascinants mystères nocturnes.    On y raconte plein d'histoires, on fabrique et on montre de jolies choses et on chante des chansons pour en parler, pour se familiariser avec la nuit et ne plus jamais en avoir peur !

 Entrée libre à 17 h et chapeau à la sortie

 Ariane Delabays modiste à Lausanne depuis 2002 crée des chapeaux en tous genres, sortis de son imaginaire ou de celui de ses client(e)s. Aurélie Emery, musicienne touchant à tout, de la flûte traversière à l'électronique, tisse des chansons pour les adultes et les enfants avec sa voix comme fil rouge. Barbara Sauser a suivi une formation de comédienne à la section d'art dramatique du Conservatoire de Lausanne, elle n'a jamais cessé d'exercer et de perfectionner sa pratique et sa passion des contes.

En ces temps de l'Avent, où les nuits sont très longues et très noires, là où on éteint les réverbères, enfants, parents et grands-parents c'est la période idéale pour découvrir les secrets de la nuit, et chacun pourra dire: « Même pas peur ! »

 Entrée libre, Chapeau à la sortie.

  ROSELINE HEUTGER CONTESSE

Dimanche 11 décembre prochain à 17h, l'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens vous invite à découvrir Les secrets de la nuit, un conte musical tout public dès 4 ans, avec la Compagnie A3.

Que faire quand on a peur du noir? Une conteuse, une modiste et une musicienne vous emmènent à la découverte des mystères de la nuit, si fascinante et inquiétante. Dans cette aventure scénique, on raconte plein d'histoires, on fabrique et on montre de jolies choses et on chante des chansons pour en parler, pour se familiariser avec elle et ne plus jamais en avoir peur!

Avec Ariane Delabayss modiste à Lausanne depuis 2002 qui crée des chapeaux en tous genres sortis de son imaginaire ou de celui de ses client-es; Aurélie Emery, musicienne touchant à tout, de la flûte traversière à l'électronique, qui tisse des chansons pour les adultes et les enfants avec sa voix comme fil rouge; et Barbara Sauser conteuse ayant suivi une formation de comédienne à la section d'Art dramatique du Conservatoire de Lausanne, et n'a jamais cessé d'exercer et de perfectionner sa pratique et sa passion des contes.

Et vous enfants, parents et grands-parents, même si vous n'avez pas peur de la nuit, venez goûter au plaisir de la magie des contes!

Entrée libre, chapeau à la sortie.

Pour l'Association du chœur de l'église de Daillens Roseline Heutger Contesse

L'association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens a le plaisir de vous présenter son programme pour la saison 2022-2023 qui débute ce dimanche 6 novembre à 17h avec Balance ton tango Sextuor Hommage à Astor Piazzolla (photo). Suivra, le 11 décembre, la Compagnie A3 Les secrets de la nuit conte musical tout public. Puis, le 22 janvier: Compagnie Coup d'soleil, hommage à Gilles. Le 12 mars 2023, Albert Pia & Jan van Hoecke pour un duo guitare et flûte à bec. Enfin le 23 avril: Antoine Schneider et ensemble, impro sur musique baroque.

Pour le concert de ce dimanche 6 novembre, le sextuor Balance ton tango vous promet un voyage en musique autour du tango argentin. Ce groupe est formé de six musicien(ne)s professionnel(le)s qui jouent dans différents orchestres de chambre suisses : Stéphanie Joseph violon ; Harmonie Coca Tercier violon ; Marion Rolland, alto ; Catherine Marie Tunnell, violoncelle ; Stanley Clark, trombone et Marcelo Nisinman, bandonéon. Le dernier nommé, surnommé le démon amical, est né le 21 décembre 1970 à Buenos Aires où il étudie la musique et le bandonéon Il termine ses études de musique à Bâle où il réside. Il est devenu un compositeur international et maître interprète de bandonéon.

Au programme : un hommage au gigantesque compositeur et bandonéoniste argentin Astor Piazzolla. Nous entendrons aussi des œuvres de Darius Milhaud, Carlos Gardel, Marcelo Nisinman et Wynton
Marsalis.

L'entrée est libre avec chapeau a la sortie. L'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens se réjouit de vous retrouver et vous souhaite beaucoup de plaisir avec notre nouveau programme.

Roseline Heutger Contesse

L'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens a le plaisir de vous présenter son premier concert de la saison 2022-23 dimanche 6 novembre prochain à 17h à l'église de Daillens.

Avec le sextuor Balance ton tango, l'association vous invite pour une belle découverte de la musique sud-américaine, plus précisément l'Argentine et son tango. Le sextuor est formé de sixgrands musiciens professionnels jouant dans différents orchestres de chambre suisses: Stéphanie Joseph, violon;
Harmonie Coca Tercier, violon; Marion Rolland, alto; Catherine Marie Tunnell, violoncelle; Stanley Clark, trombone, et Marcelo Nisinman, bandonéon.

Marcelo Nisinman, surnommé le démon amical et né à Buenos Aires le 21 décembre 1970, est un compositeur international et maître interprète de bandonéon. Il termine ses études de musique à Bâle où il réside actuellement.

Au programme, un hommage à Astor Piazzolla, compositeur et bandonéoniste argentin, considéré comme le musicien le plus important de la seconde moitié du 20e siècle pour la musique du tango.
Il lui donne ses lettres de noblesse et crée un genre nouveau: le tango nuevo. Nous entendrons également des œuvres de Darius Milhaud, Carlos Gardel, MarceloNisinman et Wynton Marsalis.
Entrée libre, chapeau à la sortie.

Pour son dernier concert de la saison, l'Association pour l'animation pour le chœur de l'église de Daillens, accueillait dimanche passé le Brass Ensemble Dix de Cuivre.

Un concert qui a rempli de sonorité et de joie toute l'église. Se faire plaisir tout en faisant plaisir à un large public est ce qui les motive depuis plus de trente ans.

Le programme très attractif et varié est commenté par le dynamique directeur Michel Burnand. En ouverture la marche de Pâques de la Fête des Vignerons 1977 de Jean Balissat montre d'entrée la vitalité et la qualité musicale de l'ensemble.

Un choix musical de compositeurs contemporains, sauf une petite exception pour l'arrivée de la Reine de Saba, tiré de l'Oratorio de Salomon de G.-F. Haendel où l'on ne peut qu'apprécier la magnificence de cette musique avec un arrangement de Thomas Wyss qui fait la part belle aux cornets.

La berceuse de Jean-François Michel nous emmène à l'alpage avec appel en solo et écho des trompettes, High Five de Gilbert Karlen, compositeur d'ici, a été retravaillée pour être jouée par Dix de Cuivre, nous plongeons aussi dans l'ambiance des musiques de film avec Crimson Tide de Hans Zimmer, Distant Land, prière pour la paix de John Rutter nous fait penser que parfois la musique peut être aussi forte que des mots.

ROSELINE HEUTGER COMTESSE

Se faire plaisir tout en faisant plaisir à un large public, telle est la motivation du Brass Ensemble Dix de Cuivre. C'est aussi sa devise depuis plus de trente ans. Dimanche 3 avril, l'Association pour l'animation pour le chœur de l'église de Daillens l'accueillait pour son 182e concert.

Très attractif et varié, le programme comprenait surtout des compositeurs contemporains. En ouverture, la Marche de Pâques de la Fête des Vignerons 1977, de Jean Balissat, a rempli l'église de puissantes et belles sonorités et montré la force de la musique qui permet d'exprimer notre joie, notre tristesse ou notre colère au-delà de la politique et des conflits.

Dimanche passé s’est tenu un excellent concert de Béa Droz, soprano et Elio Coria, piano, à l’église de Daillens
Les différentes pièces du programme ont été présentées et commentées par le père de Béa.

Pour commencer cinq mélodies populaires grecques écrites par Maurice Ravel à une période entre la fin du 19e siècle et le début du 20e où l’on s’ouvrait au monde en recherche d’exotisme avec un certain lyrisme.
En solo Elio Coria interprète avec brio Jeu d’eau, une musique vivante et démonstrative mais aussi abondante, tonitruante, et légère à la fois. Avec les trois chants de Robert Schumann, l’atmosphère est différente, Zwielicht (Le crépuscule) nous plonge dans une ambiance entre chien et loup, qui évoque bien la mélancolie et l’angoisse du compositeur.

Dimanche 6 mars à l’église de Daillens Béa Droz, soprano et Elio Coria, piano, ont enfin pu donner leur concert, peaufiné depuis près de deux ans vu cette période difficile de pandémie.

Au programme, trois compositeurs Ravel, Schumann et Grieg. Les différentes pièces sont présentées par le papa de Béa Droz
Tout d’abord cinq mélodies populaires grecques écrites par Maurice Ravel à une période charnière entre deux siècles, le 19e qui fini et le 20e qui commence où l’on s’ouvrait au monde à la recherche d’exotisme et à la découverte de la musique populaire. Musique gaie et entrainante avec la chanson de la mariée, musique plus lente pour la chanson des cueilleuses de lentisques et pour finir avec une invitation à la joie.

Dimanche 6 février, l'église de Daillens a vibré aux sons bucoliques et baroques liés à l'Académie d'Arcadie, fondée à Rome en octobre 1690 par des poètes qui avaient appartenu à l'entourage de la reine Christine de Suède.

Céline Pasche à la flûte à bec et à la harpe baroque et Adrien Pièce au clavecin ont proposé un programme musical d'illustres musiciens italiens tel que Alessandro Stradella, Bernardo Pasquini, Giovanni Legrenzi, Arcangelo Corelli et Alessandro Scarlatti et son fils Domenico. Nous avons pu entendre aussi des œuvres de Johann Heinrich Schmelzer, musicien autrichien inspiré de l'art italien et de Haendel à la harpe et clavecin avec les arrangements réalisés par nos deux musiciens.

La sonate op.5 no.4 d'Arcangelo Corelli magistralement interprétée, est l'œuvre majeure de ce concert. La flûte et le clavecin jouent en cinq mouvements passant d'Adagio, Allegro et Vivace et on admire la grande complicité entre les deux musiciens.

L'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens remercie chaleureusement ces talentueux musiciens pour cette belle prestation.

ROSELINE HEUTGER CONTESSE

Lors de son concert de ce dimanche soir 6 février, l'Association pour l'animation du chœur de l'église de Daillens s'est plongée dans le monde bucolique de l'Arcadie, un monde idyllique cher au peintre Nicolas Poussin, et le public s'est laissé bercer par la musique de deux jeunes musiciens : Céline Pasche à la flûte à bec et à la harpe baroque et Adrien Pièce au clavecin.

Le programme était composé d'illustres musiciens italiens tels qu'Alessandro Stradella, Bernardo Pasquini, Giovanni Legrenzi, Arcangelo Corelli et Domenico Scarlatti. Des musiciens ayant appartenu à l'entourage de leur mécène, Ia reine Christine de Suède, qui avait quitté l'austère noblesse luthérienne pour se convertir au catholicisme et renoncé au trône de Suède pour mieux se consacrer à l'art.

Le soleil de cette belle journée d’hiver n’a pas empêché un nombreux public de venir écouter la musique irlandaise du groupe Red Clovers, dimanche passée à l’église de Daillens. Au menu, plus d’une heure une musique pure, simple et claire mais si expressive de ce pays de légendes.

En introduction, Anne Jacot explique le pourquoi du nom du groupe. Clovers c’est le trèfle, l’emblème de l’Irlande et Red : rouge pour les couleurs du notre pays puisque les musiciens sont suisses. Anne Jacot est à la harpe celtique et au bodhran, David Alvès, Xenia Despot et Clément Schouwey à la harpe celtique et François Rappaz au concertina et au tin whistle, petite flûte qui joue en majeur.

C’est à un magnifique voyage et une immersion totale dans la musique irlandaise que le groupe Red Clovers, a invité le public dimanche 16 janvier dernier, à l’église de Daillens.

Pendant plus d’une heure, le groupe Red Clovers a joué tout en douceur et finesse, une musique légère, gaie et claire mais tellement expressive de ce pays légendaire.
En introduction, Anne Jacot a expliqué, la raison du choix de ce nom : Red Clovers. Clovers c’est le trèfle qui est l’emblème de l’Irlande et red : rouge pour les couleurs de la Suisse puisque les musiciens sont suisses.

L'église de Daillens accueillait dimanche passé l'Ensemble Nachtigall pour un concert de l'Avent sentant bon Noël: il ne manquait plus que l’odeur du vin chaud et du biscôme que l’on n’a hélas pas pu partager à cause des restrictions sanitaires.
En ouverture le quatuor OP.20 en ré majeur de Joseph Haydn, avec Kevin Brady et Michel Deblüe, violon, Kaspar Maurer, violon alto et Philippe Jaques, violoncelle. Petite leçon d’histoire de la musique grâce à Kevin Brady: Joseph Haydn aimait beaucoup écrire pour des quatuors, on en compte plus de 60 à son actif et celui qui fut joué ce soir a été composer en 1772 cela fera 250 ans le printemps prochain. Musique tout en harmonie avec une fin en douceur fort bien interprétée par des musiciens chevronnés.

Dimanche 5 décembre à l'église de Daillens, l'Ensemble Nachtigall a présenté un concert de l'Avent qui a ravi le public.

En ouverture le quatuor OP.20 en ré majeur de Joseph Haydn, avec Kevin Brady et Michel Deblüe, violon, Kaspar Maurer, alto et Philippe Jaques, violoncelle. Kevin Brady nous raconte que Joseph Haydn adorait écrire pour des quatuors, on en compte plus de 60 à son actif et celui qui est joué ce soir fêtera ses 250 ans le printemps prochain, puisqu’il a été écrit en 1772. Musique douce et harmonieuse très bien jouée par des musiciens chevronnés.